Lorsque l’on a une alopécie androgénétique et que l’on perd ses cheveux de manière chronique, on vit alors parfois avec un complexe physique important au quotidien. La chute de cheveux progressive et le fait de voir son cuir chevelu se clairsemer progressivement au fur est à mesure des années est très douloureux pour une femme. L’alopécie androgénique entame alors fortement la féminité et l’estime de soi.
À notre époque, il existe de réelles solutions pour faire face à ce problème esthétique, notamment les compléments capillaires comme les volumateurs et perruques. Cependant, franchir ce cap du complément capillaire est loin d’être toujours évident psychologiquement et de nombreuses femmes vont alors se demander quel sera le bon moment pour porter un volumateur ou une perruque.
Faut-il attendre d’être très clairsemée, que son alopécie devienne visible à l’entourage? Ou au contraire, est-il plus raisonnable d’envisager ce type de solution dès les premiers signes d’alopécie?
Vous trouverez dans cet article mon témoignage sur cette étape du passage au complément capillaire et mes conseils pour déterminer quel est le meilleur moment pour vous d’envisager ce type de solutions.
Les conséquences psychologiques de l’alopécie androgénique
Lorsque l’on m’a diagnostiqué mon alopécie androgénétique vers l’âge de 20 ans, les conséquences de la maladie étaient alors encore très peu visibles. Cependant, au fur et à mesure des années, mon cuir chevelu à commencé à devenir très clairsemé. Il devenait de plus en plus difficile pour moi de masquer le problème avec des stratégies de coiffure. La poudre densifiante devenait également insuffisante pour masquer. la chute de mes cheveux. Cela est alors devenu un véritable complexe pour moi. Je ne voyais dans le miroir que mon alopécie. Je ne me sentais plus jolie et ne pouvais tout simplement plus être belle. Et il était vain d’essayer de l’être, car qui pourrait être belle en devenant chauve?
Passer plusieurs années à se percevoir de cette manière a forcément des conséquences sur l’estime de soi. Je ne souhaitais plus réellement me regarder, voir la triste réalité en face. Je détournais les yeux devant les miroirs, ou au contraire, je ne fixais mon attention que sur mon cuir chevelu clairsemé. J’étais devenue l’alopécie, rien que l’alopécie.
De part les témoignages que l’on me confie régulièrement sur les réseaux sociaux de Comme un diadème, je constate que beaucoup de femmes vivent des expériences similaires à cause de leur chute de cheveux. Certaines femmes comptent leurs cheveux perdus chaque jour. D’autres n’osent plus sortir de chez elles ou encore passent des soirées entières à pleurer ou à consulter des forums dédiés à ce problème. L’impact psychologique de l’alopécie androgénique peut être très important et affecter considérablement la qualité de vie.
J’ai moi-même laissé l’alopécie gâcher une partie de ma vie pendant plusieurs années. Puis, j’ai décidé d’avancer, de faire face au problème et d’essayer les solutions qui s’offraient à moi.
Passer au complément capillaire: mon déclic!
J’ai pris connaissance de l’existence des volumateurs capillaires vers l’âge de 28 ans, grâce à une vidéo YouTube. Cependant, je ne me sentais alors pas réellement prête à essayer ce type de solutions. M’imaginer me rendre dans un magasin de perruques, faire partie des femmes qui portent une prothèse capillaire, un toupet… Tout cela était alors un peu trop difficile à envisager pour moi!
Mais je me disais aussi qu’il était bon de savoir qu’il existait une réelle solution esthétique à mon problème! Je me suis alors promis intérieurement qu’il faudrait que j’envisage la prothèse capillaire au moment où mon alopécie deviendrait trop douloureuse à vivre au quotidien.
Quatre ans plus tard, après ma première grossesse, mon alopécie avait fortement progressé. Le complexe qui y était lié également. Je n’acceptais plus de prendre des photos avec ma fille de 3 ans quand mes cheveux étaient trop “sales” pour être présentables. Le véritable déclic a été de remarquer lors d’une pause café qu’une de mes collègues fixait mon crâne avec insistance pendant que je parlais. Je voyais sur son visage qu’elle se posait des questions sur les raisons de ma chute de cheveux. Cette jeune collègue avait en plus une chevelure magnifique, ce qui était d’autant plus humiliant! 😂
Ainsi, le déclic pour passer au volumateur capillaire a été pour moi de me rendre compte que des personnes extérieures se rendaient compte de mon problème.
Je porte ici le complément capillaire Anaïs de Comme un diadème, de longueur 51 cm.
Complément capillaire: quand faut-il vous lancer?
Beaucoup de femmes me demandent quel est le meilleur moment pour passer au complément capillaire. Je pense qu’elles se demandent à partir de quel niveau d’alopécie il est justifié de le faire. Mon avis est plutôt qu’il faut essayer cette solution avant que l’alopécie ait un impact trop négatif sur notre vie. En effet, le niveau de souffrance psychologique n’est pas forcément proportionnel à l’étendue de l’alopécie androgénétique. Certaines femmes ayant une alopécie androgénique très modérée peuvent parfois souffrir de manière bien plus importante que des femmes n’ayant quasiment plus de cheveux. L’important est donc plutôt d’évaluer si on ressent le besoin de dépasser ce complexe pour se sentir bien et épanouie.
Le complément capillaire ou la perruque peuvent réellement nous permettre de nous sentir belle à nouveau. Il nous permettent de retrouver notre confiance en nous. J’ai moi-même passé plusieurs années à complexer à cause de mon cuir chevelu qui se clairsemait. Je me sentais physiquement diminuée alors qu’il existait cette solution qui a ensuite changé ma vie. Si c’était à refaire, je pense que j’y passerais beaucoup plus tôt pour éviter de perdre plusieurs années à complexer. Je conseillerais donc de ne pas attendre d’être complètement malheureuse à cause de son alopécie pour envisager cette solution.
Concernant l’étendue de l’alopécie, je conseillerais également de ne pas attendre que l’alopécie soit trop visible. Une femme qui a encore une alopécie modérée pourra passer au complément capillaire sans que la transition ne soit remarquée par son entourage. Par contre, si l’alopécie est déjà vraiment étendue, il pourra être plus difficile de rendre le changement inaperçu.
Cependant, passer au complément capillaire ou à la perruque n’est pas une étape simple à passer psychologiquement. Il m’a fallu personnellement quatre ans de réflexion pour réellement franchir ce cap. Il faut être vraiment prête pour cela, car une prothèse capillaire ne remplacera jamais les cheveux que vous avez perdu.
Un véritable travail psychologique d’acceptation de cette solution est donc souvent nécessaire pour que cette étape se déroule au mieux. Une femme qui n’est pas complètement prête à porter un complément capillaire pourrait rejeter cette solution définitivement pour de mauvaises raisons. Comme un diadème permet le retour des produits après commande.
Essayer un complément capillaire est donc déjà une première étape importante dans le processus. Mais si le complément capillaire ne convenait pas, il est important d’en identifier les réelles raisons. En effet, un volumateur qui ne convient pas parce qu’on ne se sent pas prête pourrait en fait très bien vous convenir quelques années plus tard 😉. Il sera donc toujours temps de revenir à cette solution quand vous vous sentirez réellement prête pour cela 😊
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Cet article résonne vraiment avec ce que certaines de mes clientes ont vécu. J’ai vu à quel point la perte de cheveux due à l’alopécie androgénétique peut avoir un impact énorme sur la confiance en soi et l’estime de soi. Certaines clientes ont passé des années à essayer de cacher leurs zones clairsemées avec différentes techniques de coiffure et de produits, mais finalement, elles ont réalisé que ces solutions n’étaient pas durables.
Pour beaucoup d’entre elles, le passage au complément capillaire a été une décision difficile à prendre. Certaines ont mis du temps à s’y habituer et ont dû faire un véritable travail psychologique pour accepter cette nouvelle étape. Mais une fois qu’elles ont franchi le cap, elles ont retrouvé une confiance en elles et une joie de vivre qu’elles n’avaient pas ressenties depuis longtemps.
C’est pourquoi je suis d’accord avec l’auteure de cet article sur l’importance d’envisager le complément capillaire avant que l’alopécie n’ait un impact trop négatif sur la vie quotidienne. Il est crucial de reconnaître que chacun a son propre rythme pour accepter cette solution et qu’il n’y a pas de niveau spécifique d’alopécie qui détermine quand passer le cap. En tant que coiffeur, je suis là pour soutenir mes clientes dans ce processus et les aider à trouver la solution qui leur convient le mieux.
Alex
Cet article est une véritable bouffée d’air frais pour toutes celles qui luttent contre l’alopécie androgénique. Merci de partager des solutions concrètes et d’apporter de l’espoir avec le complément capillaire, c’est tellement rassurant de savoir qu’il existe des options pour se sentir à nouveau belles et confiantes ! 🌺✨